L’idolâtrie frénétique à l’égard du Messie de la Maison-Blanche est toujours aussi envahissante dans les salles de rédaction des médias québécois. Il faut dire que la faune journalistique de chez-nous est résolument ancrée à gauche depuis belle lurette (comme c’est d’ailleurs le cas partout en Occident). Par conséquent, dès l’apparition de Barak Hussein Obama sur la scène politique fédérale américaine, les scribes, les intellos et les zartistes québécois sont aussitôt devenus de fervents groupies du Président le plus gauchiste de l’histoire des États-Unis. Nous avons pu l’observer de nouveau avec l’adoption récente par le Congrès de la réforme du système de santé américain.
À les lire et à les écouter, c’était, de la part du Rédempteur, un évènement tellement, mais tellement «historique», qu’il faudrait illico lui ériger une gigantesque statue en pied qui aurait le port de tête «mussolinien» qu’on lui connait bien : menton levé et regard visionnaire avec un soupçon de dédain.
Mais ce culte dithyrambique et irrationnel que l’on voue à l’hôte de la Maison-Blanche n’existe plus qu’en dehors des États-Unis. Dans la plus grande démocratie au monde, le Sauveur est redevenu depuis déjà plusieurs mois ce qu’il a toujours été : un politicien, gauchisant, retors et buté, issu de la clique Démocrate corrompue de Chicago dont il a gardé les méthodes musclées (bien connues) de persuasion. Son chef de cabinet, qu'on surnomme Rambo, est d’ailleurs lui-même un expert en «tordage de bras».
Le vote serré à la Chambre des Représentants (gagné par la peau des fesses avec seulement 7 voix de majorité…et presqu’une quarantaine de Démocrates qui ont voté contre) en dit long sur le maquignonnage et le chantage qui l’ont précédé. L’adoption de cette loi avec une si minuscule majorité s’explique toutefois par la proximité de l’élection de mi-mandat de novembre prochain où tous les Représentants et un tiers des Sénateurs devront tenter de se faire réélire. Ce qui constitue un défi de taille quand on sait que tous les sondages démontrent, d’une part, que la cote du Messie est tombée sous la barre des 50% et que, d’autre part, une très forte majorité d’Américains s’opposent à la réforme d’Obama. Ajoutons que tous les sondages révèlent aussi que 80% des citoyens des États-Unis sont satisfaits de leur système de santé.
Bien sûr, nos scribes et nos experts adulateurs de gauche considèrent cette majorité de citoyens comme un immense troupeau d’abrutis sans cœur et de ploucs décérébrés ontologiquement inaptes à percevoir l’incommensurable compassion du Miséricordieux. Le plus déconcertant, c’est leur explication de ce désaveu majoritaire du peuple américain envers la réforme Obama : les Américains, vaticinent-ils, contrairement à nous, les Québécois, n’ont pas le sens de la solidarité! C’est à brailler…où à se tordre! Notre système de santé, éléphantesque, étatique, bureaucratique, «soviétique», n’a pas grand-chose à voir avec la solidarité. La solidarité est un comportement et une démarche altruistes qui supposent la liberté. Lorsque vous participez à une campagne de financement pour venir en aide aux plus démunis où pour secourir des sinistrés, vous faites preuve de solidarité parce que votre geste est libre. Mais quand vous financez par vos impôts un système de santé, vous n’êtes pas solidaires, vous êtes simplement un contribuable qui n’a pas le choix de passer à la caisse. Et en matière de solidarité bien comprise, les Américains n’ont aucune leçon à recevoir des Bonnes Âmes de la médiacratie.
Ce qu’il y a également d’horripilant dans les petits sermons courroucés de nos scribes et intellos, c’est leur vision manichéenne des régimes de santé de part et d’autre de la frontière. Quand on les écoute et qu’on les lit, c’est à croire que le système canadien est un modèle dont la perfection et l’efficacité sont indépassables et que l’américain, lui, est une mécanique monstrueuse, inhumaine et sauvage. Je suis certain qu’ils ont dû ovationner le film de propagande grossière et mensongère (Sicko) du patapouf gauchiste multimillionnaire, Michael Moore, sur le régime de santé américain. Lui aussi, sa vision est d’un manichéisme lourdement sectaire : l’enfer d’un côté (les États-Unis) et le Paradis de l’autre (les systèmes canadien, français, britannique et …cubain!!!).
Bien sûr, le système américain comporte des lacunes. Mais il est faux de prétendre que les pauvres sont laissés à l’abandon. Il existe deux programmes publics (Medicair et Medicaid), donc financés par l’État, qui couvrent les soins de santé des familles à bas revenu et des personnes âgées. Il est également faux de prétendre que les non-assurés ne sont pas traités dans les services d’urgence. Une loi le garantit.
Mais ce qu’il faut bien comprendre, c’est que, pour corriger les lacunes du système, les citoyens américains, très majoritairement, exigent que l’État se fonde sur la liberté de choix et la responsabilité personnelle. Historiquement, les Américains ont toujours été réfractaires, pour ne pas dire hostiles, à l’interventionnisme étatique, surtout quand il est fédéral. Ils sont fermement convaincus que lorsque l’État grandit et grossit, c’est au détriment de leur liberté (et de la responsabilité qui l’accompagne) qui, elle, s’amoindrit. Mais n’est-ce pas là, dans une vraie démocratie, une réaction, une inclination et une conduite qui méritent, non pas le mépris, la répugnance et la dérision, mais le respect et l’admiration.
Or, Obama, par crispation idéologique, s’est braqué contre cette prédilection historique des Américains pour la liberté. Plutôt que de recourir à des voies et moyens qui tiendraient compte de cette préférence marquée pour la liberté et de cette méfiance avisée à l’égard de l’État, il a opté pour un forcing brutal au sein du Congrès. Ça va lui coûter cher! Il pourrait perdre sa majorité à la Chambre des Représentants aux élections de novembre. Et si ça arrive (ce qui est plus que probable), ça va pleurnicher dans les cénacles d’idolâtres de la presse québécoise et ça va agonir d’injures (tarés, abrutis, demeurés, incultes…mettez-en!) les Américains qui auront eu l’impudence de réduire la capacité de nuisance du Bonimenteur de Chicago.
Jacques Brassard
Et je vous conseille d’aller lire David sur le blog Antagoniste.net. Son Guide d’autodéfense intellectuelle dresse un parallèle éclairant entre le système de santé américain et celui du Canada. Le nôtre ne sort pas nécessairement grandi de cet examen comparatif factuel.
lundi 29 mars 2010
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16 commentaires:
Le système canadien est supérieur au système américain...
SICKO: Michael Moore Documentary Part 1/13
http://www.youtube.com/watch?v=a7pCaK0aASE
Mais Powercorp et autres vont-ils réussir à détruire notre beau système qui comporte aussi des choses qui doivent être améliorées?
Comme agrandir les urgences des hôpitaux... Réduire la burocratie... Contrôler les salaires des médecins spécialistes... Réduire le coût des médicaments génériques et autres...
M. Brassard, je n'ai que des félicitations à vous donner.
Hélas, pour savoir la vérité aux USA il faut aller du côté anglophone. En tout les cas, surtout pas nos médias gauchos du Québec. C'est triste à pleurer... lorsqu'on voit qui couvre les nouvelles dans la presse internationales. Autant sur les USA qu'Israel, pour avoir l'heure juste, ce n'est sûrement pas dans nos médias du Québec que l'on peut l'avoir.
obama est le pire que la maison blanche ont eu. ce type est une véritable catastrophe. Il baise les ennemis de l'occiedents, et détruit le plus grand allié des USA et de l'occident, Israel.
Moi, je souhaite qu 'il soit battue. Déjà les dégâts qu'il aura fait seront imenses.
Jacques fait référence au guide d'auto-défense intellectuel de Antagoniste.
Voici le lien:
http://www.antagoniste.net/2010/03/23/guide-dautodefense-intellectuelle/
-- Yves
Ça me fait bien rire la "solidarité" des Québécois ...Cette solidarité québécoise dont parle les syndicats est à sens unique: tout pour les syndicats de la fonction publique rien pour le peuple. Je me demande bien en quoi notre gros Etat est "solidaire". En fait, l'étatisme québécois est devenu un bar ouvert: pas une journée sans qu'un groupe de chialeux ne réclame une augmentation de salaire, une subvention, un passe-droit, etc. Notre Etat est rongé par la corruption et le népotisme. Et c'est ce modèle que nos grands commentateurs veulent voir imposer aux Etats-Unis ! Obama va entrainer les États-Unis en faillite. Ses disciples mettront alors la faute sur le méchant capitalisme. C'est à prévoir.
@anonyme
Des cas particuliers, prenons le cas de l'homme qui récemment est mort dans l'attente d'une opération cardiaque, comme ceux de Moore on peut en trouver ces milliers dans notre plus meilleurs systèmes.
Réduire la bureaucratie est une vue de l'esprit. Aucun gouvernement socialiste ne fera ça.
L'IDOLÂTRIE PERDURE...AU QUÉBEC!
Oui M. Brassard certainement.
L'Avortement est le 8iè sacrement au Québec...
(Suite)
Il y a une énorme différence entre être généreux avec son propre argent et agir au nom des autres avec leur argent et sans leur consentement.
C’est une perversion de l'un des plus beaux traits de caractères humains, de forcer la générosité avec les taxes de solidarité et le transfert de revenus pour la charité! Prenez un numéro, attendez dans la file et recevez un peu de charité, quand votre tour auprès du fonctionnaire est arrivé!
Mon ami, aucune étude danoise n’a analysé les opinions politiques vis-à-vis la générosité! Mais, il y en a beaucoup, aux États-Unis, et elles disent toutes la même chose : les Américains de droite sont plus généreux que ceux de gauche, même si l’on compense la différence de revenus!
En d’autres termes, le conservateur donne plus à la charité que le gauchiste à revenus égaux!
On pourrait supposer que c’est parce que les conservateurs donnent plus à leur église, mais, en fait, ils donnent beaucoup plus pour les pauvres Américains et pour ceux du tiers-monde.
Une explication pour cette différence est que les gauchistes sont plus hésitants à s’aider eux-mêmes, puisqu’ils croient que c’est à l’État de le faire, pendant que les conservateurs croient, dans une plus grande proportion, qu’il en est de la responsabilité personnelle. Dans cette perspective, ce sont les Américains de gauche qui agissent comme Scrooge!
La générosité de Jésus, telle que décrite dans la Bible, consiste en un sacrifice de soi que l’on pourrait rarement attendre des gens ordinaires.
Mais, nous venons tout juste d’être témoin du contraire : un cirque disgracieux, là où les politiciens du monde se sont comportés en sauveurs, sans aucune humilité!
L’hypocrisie est intolérable. Les politiciens danois ont parlé du Danemark comme étant un pionnier des énergies alternatives. La vérité est que nous sommes un exportateur net de pétrole et que 80% de notre électricité est produite avec du charbon.
Comprenez-moi bien : je n’ai pas de problème avec le pétrole ou avec le charbon, mais bien avec l’hypocrisie!
Le «climatologue alarmiste» anglais, Sir Nicholas Stern, a, récemment, affirmé, dans une entrevue au Times, que la situation du climat est si grave que la population mondiale devrait cesser de manger de la viande, parce que ça cause beaucoup d’émissions de gaz à effet de serre. Mais, l’Homme n’est pas végétarien et il n’a aucune intention de le devenir.
Al Gore termine son film oscarisé sur les changements climatiques avec beaucoup de suggestions pour économiser l’énergie. Mais, sa propre maison utilise 20 fois plus d’énergie que le foyer américain moyen.
On peut en dire beaucoup sur le vieux Ebenezer Scrooge, mais, hypocrite, ça, il ne l’était pas!
http://lequebecdedemain.blogspot.com/2009/12/la-generosite-et-lhumanisme-ne-se.html
La solidarité des gauchistes est le chantre de l'hypocrisie. Voici un texte de Martin Ågerup, directeur du think-tank libéral/libertarien danois CEPOS qui a été publié le 21 décembre 2009 dans Politiken, un journal qui est proche du Parti social-démocrate, et qui résume bien ma pensée.
....
Scrooge était-il de gauche?
«Noël n’est, sûrement pas, quelque chose d’heureux pour vous, les conservateurs.», m’a dit, un jour, quelqu’un!
«Pourquoi crois-tu cela?», ai-je demandé, avec étonnement!
«Parce que Noël, c’est la fête des cadeaux et de la générosité!»
Donc, si vous désirez un État-Providence plus petit et qui laisse aux citoyens plus de leur argent, vous êtes perçu comme un pingre et un avare, comme le personnage de Ebenezer Scrooge dans «A Christmas Carol» de Charles Dickens. Il était une fois, un homme qui n’aimait pas Noël! Il devait, sûrement, être de droite! Vraiment?
Si vous lisez «A Christmas Carol» plus en profondeur, on découvre que ce n’est pas un plaidoyer en faveur d’un État omniprésent avec des prestations financées par les impôts. Le message de Noël de Dickens est, plutôt, à l’opposé : la responsabilité individuelle!
Que fait monsieur Scrooge, quand un représentant d’un philanthrope privé lui demande une contribution pour les pauvres?
Monsieur Scrooge se dégage de toute responsabilité et il le renvoie à l’État : «Nous avons des prisons, des asiles de travail et des lois sur les pauvres.», dit Scrooge! Comme contribuable qui finance ces institutions, Scrooge juge que ces gens peuvent y aller!
Le message de Noël de Charles Dickens est : «Comment peut-on, personnellement, s’impliquer dans la vie des gens?»! L’engagement personnel vient de soi. Il ne peut pas être remplacé par l’État et, si on devient comme Scrooge, on finit pauvre et seul!
Le camp conservateur (le libéralisme et le conservatisme mis ensemble) n’est pas opposé à la générosité et à l’abnégation de soi. Il est, plutôt, sceptique du droit des politiciens de décider quelle forme de générosité ils peuvent nous imposer.
Pour ce qui est du Obamacare, cette réforme est, tout simplement illégale! Aux États-Unis, les États ont beaucoup plus de pouvoirs que les provinces, au Canada. Les États-Unis sont une vraie Confédération décentralisée, pas une Confédération d'opérette qui est, en fait, une Fédération ultra-centralisée, comme l'est le Canada!
Donc, c’est, totalement, anti-constitutionnel et anti-démocratique que de forcer un régime de santé publique à tous les États (la santé est une compétence des États, aux États-Unis, et, contrairement à ici, le gouvernement fédéral ne peut pas empiéter sur les champs de compétences des États), forcer des gens libres à s’assurer, sous peine d’amendes, et à forcer des impôts plus élevés OBLIGATOIRES!
Je le répète: en plus d'être anti-constitutionnel, c’est, complètement, anti-démocratique! Quelle ironie, quand on pense que le Messie nobelisé et sa clique se torchent, littéralement, avec la Constitution qu'ils ont, pourtant, juré de défendre, le 20 janvier 2009!
Par contre, ici, au Québec, on croit que c’est démocratique de payer pour les autres, même quand on paye pour ceux qui travaillent au noir et qui ne paient pas une piasse d’impôts ou qui en déclarent peu! Le Québec, quelle idiotie!!!!
Au fait, savez-vous ce qui me désole le plus, dans toute cette histoire, hein? C'est d'entendre et de lire partout des gens qui disent ou qui écrivent que la réforme d'Obama a permis aux États-Unis d'entrer dans «l'ère moderne»!
Mais, ce qui est le plus amusant dans tout ça, c’est de constater que le même discours a été appliqué, mot pour mot, ici, au Québec, concernant la sacro-sainte Révolution tranquille! Comme si l’augmentation de la présence de l’État représentait la modernité! Foutaise! Le totalitarisme, c’est le passé!
Allez demander aux habitants de Shenzhen (ou à d’autres habitants de zones économiques spéciales en Chine) si ils sont plus ou moins modernes que la Chine continentale et socialiste, juste comme ça!
La réponse est bien évidente, car la liberté est toujours d’actualité! En passant, 36 États américains ne veulent pas appliquer la réforme d'Obama et ils ne veulent même rien savoir d'elle! Si deux États de plus se joignent à eux, ces 38 États (représentant 76% des États-Unis) pourraient faire passer un amendement constitutionnel, afin de faire bloquer la loi entourant cette réforme (c'est permis par la Constitution américaine, quand le gouvernement fédéral outrepasse ses champs de compétence!)!!!
C'est beaucoup plus démocratique qu'ici!
Le système américain est de beaucoup supérieur au système canadien... au niveau des coûts! Bien sûr que c'est leur droit légitime (ou plutôt divin) de se faire arnaquer par les compagnies d'assurances. Vive la liberté états-unienne de se faire avoir!
Directement d'une publication américaine (voir le lien)
http://blogs.ngm.com/.a/6a00e00982269188330120a7a467cf970b-popup
Bon, évidemment que la plupart des visiteurs de ce blogue (et son auteur) fantasme sur Sarah Palin donc à quoi bon ajouter à la défense d’un Nobel de la paix. Ce qui vous dérange le plus c'est qu'un président de centre-droit (revenez sur terre la gauche n'existe pas à Washington) soit à la tête du phare mondial du néolibéralisme. En espérant que la majorité des États-uniens vote contre la propagande de FOXNews à la prochaine élection.
Bonne journée à tous et bon budget.
Au fait, monsieur Brassard, saviez-vous que, dans le Obamacare, le nom de ACORN revient souvent?
• Page 65: Taxpayers will subsidize all union retiree and community organizer health plans (read: SEIU, UAW and ACORN)
• Page 95: The Government will pay ACORN and Americorps to sign up individuals for Government-run Health Care plan.
• Page 321: Hospital expansion hinges on “community” input: in other words, yet another payoff for ACORN.
Page 469: Community-based Home Medical Services: more payoffs for ACORN.
• Page 472: Payments to Community-based organizations: more payoffs for ACORN.
http://canadafreepress.com/index.php/article/13158
Pour ceux qui l'ignorerait, voici la p'tite histoire de ACORN!
ACORN est le diminutif de Association of Community Organizations for Reform Now. Il s’agit d’un organisme gauchiste qui était chargé de faire enregistrer des électeurs démocrates pour que ces derniers puissent voter en masse le 4 novembre 2008.
Le problème est que cette organisation est, probablement, derrière une fraude électorale à grande échelle: http://www.youtube.com/watch?v=gkUKOSnv2zY
Juste à Indianapolis, il y avait 105% de la population en âge de voter qui apparaissaît sur les listes électorales, tout ça grâce aux «efforts» de ACORN: http://www.outsidethebeltway.com/archives/indianapolis_voter_registration_at_105/
Le FBI a même décidé d’ouvrir une enquête criminelle sur ACORN: http://americana.blog.lemonde.fr/2008/10/17/le-fbi-ouvre-une-enquete-sur-acorn/
Et la campagne électorale de Barack Obama a caché un don de 800 000$ à ACORN, don qui a été versé au début de l’année 2008: http://www.pittsburghlive.com/x/pittsburghtrib/news/election/s_584284.html
Donc, à qui profite la réforme d'Obama, hein? Aux Américains ou à ceux qui ont permis l'élection d'Obama, hein?
Et qui paye? Les Américains ou ceux qui ont permis l'élection d'Obama? Qui?
Mais, ma partie préférée du Obamacare demeure ce réglement d'inspiration on ne peut plus «orwellienne»: «• Page 489: Government will cover marriage and family therapy. Government intervenes in your marriage.»
Personellement, je ne reconnais plus les États-Unis d'Amérique! Cette administration passera à l'Histoire, non pas comme celle qui a vue le premier Afro-américain à la présidence de ce grand pays, mais comme celle qui aura causé le plus de dommages aux États-Unis, autant concernant la politique intérieure que la politique extérieure!
Ça prendra 200 ans aux Américains à se remettre de tout cela, quand Obama en aura fini avec leur pays! M'enfin, ça, c'est si ils s'en sortent vivants...et nous avec!
Toutes mes condoléances au peuple américain!
La prochaine cible du Messie nobelisé?
Le droit au port d’armes : http://republicbroadcasting.org/?p=625
En novembre, le Messie nobelisé devra payer pour tout ça! Le pire, c’est que ma génération sera là pour constater son échec, de même que les dégâts qu’il aura causé! Soit il est un idiot, soit il nuit volontairement aux États-Unis et au Monde libre pour une raison obscure!
Je pense que ce qui est vraiment inquiétant dans tout l`Occident...c`est la pietre qualité des leaders politiques et des journalistes.
Je considere que Reagan a été un excellent président - mais depuis ce temps on a pas vu grand choses aux USA. Clinton a déshonoré la Présidence et s`est servi de l`armée pour sa politique personnelle - dévier le scandale Lewinsky. Bush a commis une terrible erreur en Irak - Il aurait du patienter et voir - L`Irak me fait penser a l`expédition des Athéniens a Syracuse pendant les guerres du Péloponese - elle a menée Athene a sa perte.
Obama est plus prudent mais incroyablement naif en politique étrangere et tres faible. En France Sarkozy est pitoyable, en Grande-Bretagne, Brown est un désastre.
Le système de santé en Australie
An Australian journalist explains why her country’s health insurance system leaves Obamacare in the dust.
http://www.mercatornet.com/articles/view/at_least_in_oz_universal_cover_is_good_sense_not_socialism/
Mr.Brassard plus je vous lis plus je suis mystifie du fait que vous etes un ancien membre du parti quebecois. Vraiment je ne comprend pas.
Ne soyez pas trop sévère avec Black Obama, il est très fatigué...
http://www.pvr-zone.ca/barak_hussein_obama_depressif.jpg
Il est certain que toutes les personnes qui écoutent les journalistes, les syndicats, les artistes, les politiciens et tous les gens qui préconisent un système de santé publique et un régime ou le gouvernement doit tout contrôler, et qui ne se renseignent pas sur les conditions réelles de nos voisins du sud, continuent de penser que des gens meurent sur les trottoirs au USA parce qu'ils n'ont pas d'assurance, donc pas les moyens de se faire soigner.
Ce qui est complètement faux.
Quand ceux qui disent qu'il y a 32 millions de citoyens américains (sur 350 millions) qui n'ont pas d'assurance, c'est peut-être vrai, mais ils oublient de dire que la moitié de ces gens ont décidés par eux mêmes de ne pas s'assurer, préférant payer à l'acte, et prendre soin de rester en bonne santé pour éloigner la maladie, c'est leur choix personnel.
Et ceux qui sont pauvres, ils sont soignés pareil comme les autres, ils recoivent une facture, et s'ils ne sont réellement pas capable de payer après enquête, la facture est tout simplement déchiré.
C'est cela de la solidarité sociale.
On a pas de leçon à donner aux Américains et Obama va se faire battre c'est certain au prochaine élection.
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