mercredi 23 novembre 2011

VITE! UNE AUTRE PLANÈTE!


                                   

Peut-être croyez-vous naïvement que les événements climatiques extrêmes (je vous parle de canicules, tornades, ouragans, cyclones, inondations, montée des eaux, sécheresses) vont diminuer en nombre et intensité.

Eh! Bien! Détrompez-vous! S’il faut en croire le dernier rapport du GIEC (le despotique gardien onusien de l’orthodoxie climatique) : «il est pratiquement certain …que les vagues de chaleur s’accroîtront en durée, fréquence et/ou intensité sur la plupart des terres émergées»; «il est probable que la vitesse maximum moyenne des vents de cyclones tropicaux augmentera dans le siècle à venir»; « il y a des preuves, permettant une confiance de niveau moyen, que les sécheresses s’intensifieront durant le siècle à venir».

Le mieux à faire, ce serait sans nul doute de se choisir une autre planète et d’y déménager! Le temps presse de quitter la nôtre! Nous l’avons trop maltraitée, la pauvre petite Gaïa!

À moins que…à moins que toutes ces calamités  qui iront se multipliant et s’intensifiant ne soient que…virtuelles.

Or, c’est le cas.

Notez la présence récurrente dans le rapport du GIEC de l’expression «durant le siècle à venir». Cela signifie que la quasi-certitude («pratiquement certain») et la très forte probabilité relativement à l’avènement de ces diverses calamités climatiques sont le fruit de modèles informatiques. Les mêmes modèles qui prévoient une augmentation des températures de 3 à 5 degrés centigrades …«durant le siècle à venir».

Or, il y a deux problèmes de taille qui devraient nous inciter à un scepticisme de bon aloi devant cette autre manifestation du catastrophisme climatique.

Le premier, et il n’est pas anodin, concerne la fiabilité des modèles climatiques qui mobilisent à travers le monde toute une cohorte de «pianoteux» informatiques. Tous ces modèles (brevetés par le GIEC) sont évidemment fondés sur la théorie (devenue un dogme) du réchauffement anthropique, ce qui veut dire qu’ils attribuent un rôle majeur aux émissions humaines de CO2 dans l’accroissement des températures…«dans le siècle à venir».

Or, vous comprendrez facilement que si cette théorie s’avère fausse, tous les modèles, s’appuyant  sur celle-ci,  seront  bons «pour la casse».Pour employer un mot savant, ils vont devenir obsolètes. Par conséquent, toutes les prédictions et toutes les simulations enfantées par ces modèles, perdront ipso facto toute fiabilité et seront à mettre au rancart.

C’est précisément ce qui arrive. La théorie du réchauffement anthropique est de plus en plus battue en brèche.

Ce qui se traduit concrètement par le fait que les modèles climatiques traitent incorrectement les nuages et la vapeur d’eau (principal gaz à effet de serre). Ils prévoient une rétroaction positive des nuages et de la vapeur d’eau (un effet amplificateur sur les températures)  alors que la rétroaction serait plutôt négative.

Ensuite, ils ne prennent pas en compte les oscillations océaniques multi décennales qui, selon bon nombre de scientifiques (Akasofu, Gray, Spencer, entre autres), expliqueraient à elles seules, sans recourir au CO2, la succession de périodes froides et chaudes au XXe siècle.

Enfin, ils ignorent les effets, liés aux cycles solaires, du rayonnement cosmique sur la couverture nuageuse et, par voie de conséquence, sur les températures de la Terre.

Donc, les prédictions des modèles climatiques ne sont guère plus fiables que celles de l’astrologue de votre journal quotidien. Surtout qu’elles portent «sur le siècle à venir».

Évidemment, Radio-Canada, citadelle du réchauffisme, a fait grand état de ce rapport du GIEC et  insisté lourdement sur les fléaux climatiques qui vont nous terrasser «durant le prochain siècle».

La télévision d’État a d’ailleurs fait appel à un «expert», un pianoteux du groupe québécois Ouranos, consortium dont la mission est de déterminer la nature des changements climatiques, provoqués par les activités «carboniques» des êtres humains, qui vont nous accabler au fil des ans.

Au fait, quelle est la crédibilité des pronostics d’Ouranos? La même que pour ceux énoncés dans le rapport du GIEC, c’est-à-dire une crédibilité déficiente et litigieuse. Forcément, puisque le groupe québécois a recours aux mêmes modèles informatiques, défaillants et lacunaires, que le GIEC.

Ce qui n’empêche pas les «experts» d’Ouranos et les propagandistes de Radio-Canada de présenter comme des certitudes les cataclysmes climatiques (dont l’être humain est évidemment responsable) qui vont nous tomber dessus en 2020…2055…2070…2092!

«Le réchauffement global, écrit le regretté Marcel Leroux, un authentique et éminent climatologue français, est une hypothèse issue de modèles théoriques et fondé sur des relations simplistes, qui annonce une élévation de la température, proclamée, mais non démontrée. Les contradictions sont nombreuses entre les prédictions et les faits climatiques, directement observés, l’ignorance délibérée de ces distorsions constitue une imposture climatique.»

Le deuxième problème qu’on ne peut plus continuer d’escamoter, c’est l’arrêt du réchauffement global depuis au moins dix ans, probablement plutôt quinze ans. Même les scientifiques proches du GIEC reconnaissent enfin (cela a dû être très douloureux pour certains) le phénomène : le taux de CO2 dans l’atmosphère continue d’augmenter  mais la température globale, elle, ne bouge plus depuis une quinzaine d’années. Les modèles climatiques se sont vraiment plantés.

Ce qui est intéressant, d’autre part, c’est que ces scientifiques proches du GIEC ont également jugé utile de s’attaquer à la question : pourquoi le réchauffement s’est-il arrêté? Plusieurs, dont même le pape du réchauffisme, Jim Hansen, qui, il n’y a pas si longtemps continuaient de proclamer que la science climatique est «établie», se sont remis à réfléchir afin de trouver une réponse à cette question.

Et ce qui est vraiment ironique, c’est que ces zélateurs d’une science climatique pleinement résolue, non seulement cherchent la «chaleur perdue», mais divergent d’avis sur la réponse à donner.

Certains optent pour des aérosols oubliés surtout chinois, d’autres ciblent la diminution de la vapeur d’eau, quelques uns osent même avancer qu’on a peut-être minimisé le rôle du Soleil. Plutôt cocasse comme situation!

«La vérité, conclut Jacques Duran (scientifique français de haut niveau qui rédige sans doute le meilleur blogue français sur le climat que je vous conseille vivement de nouveau : http://www.pensee-unique.fr/paroles.html), c’est qu’ils ne savent pas ce qui a provoqué ce fameux hiatus des températures de la dernière décennie.»

Le consensus scientifique n’a jamais existé dans la communauté scientifique sur la question climatique. Mais ce qui est amusant désormais, c’est qu’il n’existe même plus parmi les tenants du réchauffisme anthropique.

Et si je reviens régulièrement sur ce sujet (sachant que certains de mes lecteurs me trouvent…«obsédé»), c’est parce que ce que Marcel Leroux appelle une «imposture scientifique» (qu’on pourrait désigner aussi par supercherie carbonique), a des effets et des répercussions sur nos vies de citoyens de même que sur le fonctionnement et le poids de l’État.

Il ne faut pas envisager la question climatique comme une simple question scientifique (du même ordre, par exemple, que les théories sur l’origine de l’Univers). On est rapidement passé de la science, considérée comme «établie», à la politique et à l’économie.

Je trouve donc déraisonnable et carrément insoutenable que, sur la base d’une théorie scientifiquement incertaine, pour ne pas dire intrinsèquement défectueuse, on — le «on» désignant surtout l’État --  nous accable d’impôts et de taxes de toutes natures (taxe carbone, taxe sur les carburants, taxe sur les voitures); on nous étouffe sous de ruineuses réglementations; on bloque la mise en valeur d’hydrocarbures sur notre territoire; on subventionne les biocarburants et des filières énergétiques (telle celle de l’éolienne) coûteuses et inefficaces; on planche sur des projets mirobolants aux coûts exorbitants dans le but de séquestrer le CO2; on entend mettre en place un marché du carbone (portant sur des droits d’émission de CO2), un marché qui exigerait une lourde armée de bureaucrates (comptables, avocats, contrôleurs) pour éviter  qu’il s’enlise, comme c’est le cas en Europe, dans la fraude et la corruption.

Voila pourquoi nous devons, comme citoyens, nous préoccuper de la question climatique. Parce que ça nous coûte,  comme contribuables, des milliards!

Il est urgent que les gouvernements, à commencer par le nôtre, se ressaisissent et cessent de siphonner les contribuables que nous sommes dans le but chimérique de réduire les émissions d’un gaz dont il s’avère que l’influence sur le climat est négligeable.

Je laisse le dernier mot à l’éminent climatologue américain Richard Lindzen. «Le gaspillage de ressources, écrit-il, pour combattre symboliquement l’évolution d’un climat qui a toujours été en mouvement n’est pas une marque de prudence. La notion que le climat de la Terre ait atteint son niveau de perfection vers le milieu du vingtième siècle n’est pas davantage un signe d’intelligence.»

Jacques Brassard














12 commentaires:

yves B. a dit…

C'est pas sérieux comme commentaires. ayez l'honnêteté de présenter les deux côtés de la médaille

la température a augmentée depuis 50 ans..(entre 0,75 et 1 degrée)

Est-ce que les radiations solaires ont augmenté dans les dix dernières années ? selon mon information la réponse est non. même que le cycle habituelle de 11 ans ne serait pas remonté comme prévu dans la dernière année.

le méthane (CH4 gaz à effet de serre 21x le CO2) et le N2O (310x le CO2) sont aussi en augmentation dans l'air et pourrait contribuer au réchauffement.

Je préfère l'attitude de prévention des tenants de la thèse des changements climatiques que l'inverse. Est-ce que quelqu'un de sensé s'enfermerait dans son garage avec l'auto qui tourne en même temps et penserait de peser plus fort encore sur la pédale à gaz pour faire tourner son moteur. Eh bien c'est ce que vous proposez ?... totalement irresponsable.

La combustion des combustibles fossiles dégagent plein de composé secondaire, ça se rajoute au effet négatif sur la qualité de l'air.

est-ce un vrai blogue ici ? Est-ce que mon commentaire va être laissé ?

Yves B.

PPL a dit…

Radio-Canada ! La télé poubelle préférée de la gauche québécoise de style Papandréou ! Cette télé n'a aucune expertise scientifique. L'autre jour Radio-Canada parle de la situation politique en Espagne. La droite triomphe dans ce pays. Or, Radio-Canada ouvre son bulletin de "nouvelles" en se questionnant sur le sort du mariage gai en Espagne (on y voit en premier plan deux lesbiennes qui s'embrassent). Vous rendez vous compte ??? Les Espagnols ont le derrière dans le chemin à cause de la gestion catastrophique des socialistes à Zapatero et Radio-Canada parle du mariage gai !!! Comme si c'était une priorité pour les Espagnols !!! Le mariage gai est une priorité pour Radio-Canada mais certainement pas pour les Espagnols qui ont tout perdu. RC n'a aucune crédibilité. Je me demande pourquoi le gouvernement ne privatise pas ce repaire de bureaucrates de gauche ?

Anonyme a dit…

M. Yves B.

Vous le dites si bien, on ne parle pas de réchauffement atmosphérique mais de la qualité de l'air.

C'est évident qu'il y a un rattrapage à faire pour une meilleure qualité de l'air.

Expliquez moi pourquoi l'Europe qui doit importer son pétrole des pays arabes n'ait pas fait plus d'efforts pour réduire la consommation d'essence des voitures?

Il y a des pays où on peut 150 km/h sur les autoroutes. Ça n'en fait de la pollution!

Christian Rioux a dit…

Tout a fait d'accord avec vous M. Brassard. L'Arnaque réchauffiste perd des plumes jours après jour. Spécialement maitnenant avec un 2e Climategate, Que Radio-Canada va se faire un devoir de discréditer.

http://www.rechauffementmediatique.org/wordpress/2011/11/22/un-nouveau-scandale-eclate-climategate-2-0/

yves a dit…

Pour anonyme qui écrit à Yves B.

L'europe rencontre ces objectifs du protocole de Kyoto à ce que je sache. Le transport en commun (train ou autobus) est beaucoup plus développé qu'en Amérique ce qui est beaucoup plus efficace que le transport aérien. Ces pays sont beaucoup plus avancés que nous dans la production d'énergie renouvelable tel que le biogaz, le solaire et l'éolien (c'est l'allemagne qui serait le plus important producteur de panneau solaire au monde). La côte de consommation des véhicules en kg CO2/ 100 km est affiché depuis plusieurs années en France et Allemagne alors qu'ici ça ne fait que commencer. ils ont beaucoup moins de SUV ou de gros pickup que nous (semble t'il que ce sont les albertains les champions dans ce domaine des gros SUV...). Peut-être qu'il devrait limiter la vitesse sur leur route, bien qu'il ait des routes de bien meilleure qualité que nous :). Pour des questions de liberté individuelles, des fois ce n'est pas toujours logiques.

En passant je pense que les GES contribuent au réchauffement et changement climatiques, mais qu'en même temps ça a un impact sur la qualité de l'air.

Yves

Réjean T a dit…

Dernière heure ! Le Canada renoncerait au protocole de Kyoto

Selon la chaîne de télévision CTV, le Canada annoncerait au mois de décembre qu'il renonce d'appliquer le protocole de Kyoto.

http://www.xn--pourunecolelibre-hqb.com/2011/11/derniere-heure-le-canada-renoncerait-au.html

Anonyme a dit…

Adieu Kyoto, bonjour Durban. Un nouveau sommet de la terre vient de s'ouvrir à Durban et se clôturera le 9 décembre prochain. Au moins 15 000 délégués, diplomates, ministres, experts et ONG ainsi que 10 000 observateurs représentant 190 pays sont attendus. De quelle manière croyez-vous que ces distingués défenseurs de l'environnement s'y rendront. Avec leur véhicule électrique? À la nage? À bicyclette? Non, en avion et une fois arrivés à l'aéroport, ces glorieux héros vont se faire conduire en limousines climatisées (à l'aller et au retour). A-t-on idée de la quantité de CO2 que ces justiciers du Climat vont devoir faire émettre dans l'atmosphère pour tenter de mettre en place un cadre contraignant mondial à l'horizon et se donner bonne figure? C'est indécent.

Normand Larouche a dit…

Vous laisser entendre que Jim (James) Hansen se remet en question, c'est pas tout à fait exact. En 2010, il publiait sur internet, une synthèse fait avec 3 collègues, pour dire que le
« refroidissement » n'est qu'apparent et qu'il y a une tendance à long terme au réchauffement:

L’essentiel est ceci : « il n’y a pas de tendance globale au refroidissement. Pour l’instant, jusqu’à ce que l’humanité reprenne le contrôle de ses émissions de gaz à effet de serre, nous pouvons nous attendre à ce que chaque décennie soit plus chaude que la précédente. »

http://www.columbia.edu/~jeh1/mailings/2010/20100115_Temperature2009.pdf

Selon l'OMM, les 13 années les plus chaudes sont toutes concentrées sur les 15 dernières années. L'année 1998 qu'on qualifie de dernière année la plus chaude chez les « sceptiques »,
fut en réalité battu par les années 2005, 2007, 2009, et 2010. Et parmi les climatologues, selon divers sondages, plus de 95 % de ceux-ci adhèrent à la thèse du réchauffement
anthropique, alors si c'est pas un consensus, faudra qu'ont m'explique. D'après mes lectures, les modèles climatiques ne sont pas du tout faux, mais se trouve globalement confirmés dans la réalité.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Opinion_scientifique_sur_les_changements_climatiques

Gilles B a dit…

Je vous suggère ce documentaire sur la démographie mondiale. Alors que la population mondiale croît encore, la natalité est en déclin dans un nombre croissant de pays et l'économie et l'instruction supérieure suivent la même courbe. Les baby boomers de l'après-guerre constituent la génération qui aura eu le plus haut taux de scolarisation supérieure. Avec son retrait, si la tendance se maintient, nous aurons un monde globalement moins instruit.

C'est dans un anglais accessible, vulgarisé et réalisé par des spécialistes (ex. économistes, démographes, statisticiens,...) qui n'ont pas vu venir. Les chiffres les frappent de plein fouet. Vers 2065, la population mondiale devrait avoir atteint son maximum (peak) et commencer à décroître de façon exponentielle! Cela va totalement à l'encontre de l'idée alarmiste reçue et culpabilisante, à l'effet que la Terre devrait se débarrasser des humains.

La clé du problème est la dénatalité. À moins de 2,13 enfants par femme, une population ne se maintient plus et décroît. Un grand nombre de pays ont un indice inférieur à 2 (la presque totalité des pays européens (incluant l'est) et la tendance s'étend à une majorité de pays. Cette situation signifie un déclin de la qualité de vie et l'inversion progressive de la pyramide des âges; phénomène que nous sommes en train de vivre au Québec. Cela signifie aussi perte de productivité, donc plus grande pauvreté globale et sous-représentativité de la masse plus instruite.

C'est à voir. Même les économistes et démographes ont de la difficulté à assimiler cette nouvelle donnée qui va totalement à l'encontre de l'idée reçue (théorie de la croissance exponentielle sans fin de la population mondiale); conviction bien enracinée depuis le baby boom d'après guerre en Occident.

lien vidéo : New Economic Reality: Demographic Winter
http://byutv.org/watch/59b6b917-984a-478f-93b1-521a647779c4#ooid=w1Y2plMjpCoxf9UEB8nbg8tVamZETWEy
Si le documentaire ne démarre pas après la publicité, vous devrez cliquer dans la bande de progrès du téléchargement (zone du curseur)

Pascal a dit…

Question: comment définissez-vous une "théorie scientifiquement incertaine"? Ici, vous avez trouver une poignée de scientifiques qui disent ce que vous voulez entendre, mais vous ne nous dites ni si leurs travaux ont été validés (confirmés) ni s'ils ont apporté des données inédites. De l'autre côté, vous avez des scientifiques qui ont publié des milliers d'études dans tous les champs d'activité possible, dont les travaux sont décortiqués (y compris par des sceptiques), dont les données s'accroissent d'année en année, des données que même leurs opposants se trouvent à confirmer à leur corps défendant (RE: la récente étude BEST)...

Ce n'est pas tout de dire qu'en science, il n'y a jamais de totale certitude: arrive tout de même un moment où toutes les idées n'ont pas une valeur égale.

alain a dit…

Monsieur Brassard, je travaille chez Rta a Energie Electrique, j'ai lu votre chronique au sujet des syndiqués et de leurs syndicat. Vous semblez craché sur le syndicalisme haut et fort, moi je trouve que de vouloir et espérer que mes enfants de 7 et 9 ans qui vont à la même école que votre petit fils, aient un salaire descend dans l'avenir est important pour moi.RTA est une compagnie qui a des redevances au delà de 400 M. par année et qui profite de nos richessse largement, c'est pour ca que je crois, qu'elle est largement capable de continuer à payer ses employés futur au même salaire que le notre.

Il y a 2 ans,à EEq, nous trouvions qu'on avait de bonne condition et qu'on était chanceux et prévilégié dans la vie et voulions donner à quelqu'un qui en avait besoin. Vous me voyer venir à 100 à l'heure, mais je vais vous le rappeler. On a choisi votre petit fils Emile. Un groupes d'employés de RTA et 2 contremaîtres dont je fait vraiment parti, nous avons travaillé fort, sur notre temps, avec notre sueur pour arracher les rails de chemin de fer pour vendre ces dernières en équipe sans se soucier du statut des personnes, ont a ramassé environ 40 000$ pour votre petit fils et j'en suis très fier. Pendant qu'on ramassait de l'argent pour Emile, le monde arrêtait pas de dire que Charles est médecin et que son grand père est ex-ministe et qu'ils ont juste a ramasser l'argent eux autres même, mais ils ont quand même tous donnés généreusement pour atteindre une belle somme. Pour moi aujourd'hui, c'est comme si vous nous donniez une claque dans le visage avec votre opinion tranchante qui ne laisse aucune place à ce qui se vit présentement à Alma.
Ma conjointe a 32 bacs, elle a une garderie a la maison car elle n'a pas trouvée d'emploi dans son domaine et elle a appliqué à RTA il y a 1 ans, j'aurais été fier qu'elle travaille la comme d'autres employés qui ont peu ou beaucoup de scolarité et qui ont la chance de travailler pour cette compagnie. Avant de juger les personnes peu scolarisés à gros salaires, réfléchissez un peu svp, au mal que vous leurs faites par vos commentaire.
Je vous donne mes coordonnées si vous voulez m'envoyer une mise en demeure comme vous l,avez demandé
Alain Lemieux
360 Bordeaux Alma
668-4910
merci au moin pour avoir lu jusqu'au bout ce que j'avais a vous dire

Anonyme a dit…

Ah les modèles informatiques...
essayer de faire entrée très exactement 0,1 dans un nombre à virgule flotante, juste pour voir. Vous découvrirai que c'est impossible. Pourquoi, parce que ce n'est pas une fraction multiple de 2. Et des nombres qui ne peuvent être représenter que par une approximation la plus proche il y en a beaucoup comme ça.

Et chaque fois vous introduisez une erreur, une incertitude sur la valeur. Faite maintenant des milliards d'opération avec ces valeurs approximatives. Toute ces petites erreurs s'additionnent se multiplient entre elles.

Que donnent les projections de modèles informatiques terriblement compliqués avec des millier de variables des boucles de rétroaction multiples sur des périodes très longues...

Un autre problème des modèles informatiques, est qu'ils sont sujet à «l'hypotèse détermine le résultat»... Il ne constitura jamais une preuve comme certain le pense à tord.